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Mahler: Symphonie Nr. 2
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商品の説明
Gustav Mahler wanted his Second Symphony to exceed any known format - and he also wanted it to tackle the key questions of existence: "Why have you lived? Why have you suffered? Is everything just one enormous, terrible joke? We have to solve these questions in some way if we want to carry on living, " said the composer. Similar questions preoccupied him throughout his life, and with a special intensity during his time as an opera conductor in Hamburg. The Second Symphony, also referred to as the "Resurrection Symphony", is a complete expression of Mahler's existential struggle; both it's form and it's overpowering sound make this utterly clear. The symphony took several years to compose - it was written between 1888 and 1894. In September 1888, the first movement - which at this point still bore the title "Totenfeier" ("Funeral Rite") - was already complete. The second and third movements were not written until 1893 and Mahler only completed the entire work in 1894. Like most of Mahler's symphonies, the work follows a "Per aspera ad astra" pattern ("through difficulties to the stars"). Starting with a funeral march in the main theme of the opening movement - the passing of a life full of vigor, pain, blows of fate, and only a few brief and beautiful moments - the symphony concludes with a triumphant resurrection movement. The premiere of the complete symphony took place on December 13, 1895 in Berlin under Mahler's direction; previously (on March 4 of that year) he had already performed the first three movements. The premiere of the Second Symphony thus took place after that of the Third. The reactions were initially subdued, but today the work ranks as one of the most popular of Mahler's symphonies.
登録情報
- メーカーにより製造中止になりました : いいえ
- 製品サイズ : 14.2 x 1 x 12.5 cm; 100 g
- メーカー : Br Klassik
- EAN : 4035719001679
- 商品モデル番号 : WA-36699414
- オリジナル盤発売日 : 2018
- レーベル : Br Klassik
- ASIN : B07G21YDH9
- 原産国 : アメリカ合衆国
- ディスク枚数 : 1
- Amazon 売れ筋ランキング: - 571,323位ミュージック (ミュージックの売れ筋ランキングを見る)
- - 35,517位交響曲・管弦楽曲・協奏曲
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Per favore fate in modo che venga inviato solo questo.
Sperando di ricevere presto questo CD, vi ringrazio per la collaborazione
Franco Cordara

Mariss Jansons n'en est pas à sa première 2ème de Mahler, c'est le moins que l'on puisse dire. Il s'agit même là de la deuxième version à sortir en vidéo (montage de deux soirées de mai 2011), juste après l'enregistrement d'un concert avec le Concertgebouw - La Musique est le langage du corps et de l'âme, Portrait de Mariss Jansons & Mahler : Symphonie N° 2 (dvd) / La Musique est le langage du corps et de l'âme, Portrait de Mariss Jansons & Mahler : Symphonie N° 2 (blu-ray). Peu avant était sorti un enregistrement CD, incluant un dvd du concert, qui était quant à lui un montage de trois soirées de 2009 : Symphonie N°2 . Dans mes commentaires relatifs au dvd d'une part, au cd d'autre part, j'ai essayé d'être le plus clair possible sur les similitudes et différences de contenu. Le point commun pour moi étant que ces interprétations, bien que comportant leur lot de beautés, finissaient par manquer de nerf et devenir quelque peu lénifiantes.
A l'écoute de ce que fait Jansons avec l'autre orchestre qui lui est confié, celui de la Radio bavaroise, ce qui ressort immédiatement c'est qu'il ne va pas se laisser aller à un tel manque de contrastes, à une vision aussi balsamique. Evidemment, comme beaucoup, j'aime infiniment les sonorités du Concertgebouw et son côté aussi crémeux que boisé, d'une chaleur sans égale ou presque. Mais le laisser se lover dans ces sonorités en ne sollicitant pas de lui assez de tension ne lui rend pas toujours service. C'est en tout cas comme cela que j'entends ces prestations dans Mahler qui, loin d'être déshonorantes, me semblent tomber passablement à plat alors que de toute évidence il ne manquait pas grand-chose pour les faire accéder à la grandeur d'un équilibre que peu d'autres orchestres savent atteindre (et que je pense pour ma part avoir entendu lors de leur passage à Paris salle Pleyel dans la même œuvre).
Du nerf, le premier mouvement n'en manque pas avec la Radio bavaroise. La force de Jansons - faire entendre tous les plans sonores sans virer à la dissection analytique asséchante - s'illustre particulièrement avec un orchestre dont tous les pupitres sonnent formidablement (chapeau bas aux cordes graves et aux cuivres). Si l'on pourra considérer que dans le deuxième mouvement la pâte (patte?) allemande de l'orchestre a tendance à un peu trop alourdir la matière, rien ne s'englue jamais. Le 3ème mouvement est une merveille de conduite et d'épanouissement des lignes, même si quelques-uns des instruments de la petite harmonie sonnent ici et là un peu petitement. Bien qu'admirateur de Bernarda Fink, je ne trouve toujours pas qu'elle brille absolument dans l'Urlicht. Cela étant, comparée à de trop nombreuses chanteuses sans aucune saveur, elle fait plus que tenir sa partie avec professionnalisme. Le dernier mouvement n'échappe pas à Jansons comme c'était partiellement le cas à Amsterdam. D'une grande hauteur de vue, impérieuse, sa battue produit un résultat que l'on ne peut que qualifier d'excitant et d'harassant. Non pas qu'il n'y ait aucune place pour la sérénité, mais elle va grandissant et rien du parcours accidenté pour y arriver n'est atténué. Le chœur de la Radio bavaroise brille comme on peut l'imaginer dans la dernière partie, de même qu'Anja Harteros, particulièrement à l'aise dans cette partie qui exige de la soprano qu'elle s'impose immédiatement. A l'image du dernier mouvement dans sa globalité, le finale est intégralement à louer, des choix de tempi à l'entremêlement des voix - seul un "Bereite dich" ne se déployant pas assez est à regretter.
Il se confirme donc à quel point Jansons fait partie de ces chefs qui, s'il a sans nul doute une vision de l'œuvre, choisit de s'adapter à son orchestre et de ne pas lutter plus que cela contre sa pente naturelle. On peut sans doute trouver pleinement son compte aux sonorités capiteuses du Concertgebouw telles qu'elles se déploient sous sa direction à Amsterdam, mais l'on peut aussi penser qu'elles s'installent un peu trop en oubliant de faire affleurer les tensions multiples à l'œuvre dans la pièce. Il me semble que c'est bien à Munich avec la Radio bavaroise que sa direction trouve à s'épanouir pour donner à entendre la partition dans toutes ses dimensions et tous ses contrastes. Pour moi, la 2ème de Mahler par Jansons, ce sera désormais celle-ci.
Image et son de très bonne qualité. Prise de son naturelle et aérée, avec à peine quelques menus sons parasites et saturations. Très bon travail de filmage par Brian Large, comme à son habitude. Textes chantés sous-titrés en plusieurs langues, dont le français, l'allemand et l'anglais. Pas de supplément.
Avec tout le respect que je lui dois, et tout en admettant bien volontiers que l'enregistrement de cette soirée est déjà devenu, à bon droit, historique, Claudio Abbado à Lucerne - Symphonie N° 2 Résurrection (dvd) (et voir mon commentaire sur le coffret blu-ray Symphonies N° 1-7 pour les considérations sur les éditions) a été largement rejoint ces derniers temps par Riccardo Chailly à Leipzig - Mahler : Symphonie n° 2 (dvd) / Symphonie N° 2 (blu-ray) - et cette version de Mariss Jansons à Munich. Je continue par ailleurs à recommander, bien que le son et l'image soient d'infiniment moins bonne qualité que toutes ces captations récentes, la façon implacable qu'avait Bernard Haitink dans les années 90 de conduire le formidable engin que peut être le Philharmonique de Berlin : Bernard Haitink - Mahler : Symphonies N°1 & N°2 .


