5つ星のうち5.0The quality of recording is excellent and Amazon's lightning dispatch service was splendid
2018年7月4日に英国でレビュー済み
Amazonで購入
A delightfully crazy piece - typically French - scored for a cafe orchestra and transferred to performance by a full symphony orchestra. This performance conforms exactly to the required pace and dynamics and is played lustily and eloquently. The quality of recording is excellent and Amazon's lightning dispatch service was splendid.
variada muestra muy representativa del Ibert orquestal, con sonido limpio y a muy buen precio. Intérpretes solventes. El cd incluye el Concierto para Flauta de gran destreza técnica, no quedando por detrás otras de las piezas aquí escogidas.
Belle affaire pour qui souhaite un substantiel aperçu de la musique de Jacques Ibert (1890-1962) ! Voilà ici réédités deux piliers de sa discographie, provenant du catalogue Emi.
En 1973/75, Louis Fremaux faisait resplendir des partitions associées à l'esprit narquois et à l'écriture naïve du Groupe des Six : la trépidante "Bacchanale", le "Louisville Concerto". Ecrit en 1930 pour illustrer "Un Chapeau de paille d'Italie" de Labiche, le grasseyant "Divertissement" est vigoureusement défendu par l'orchestre anglais qui y souligne un humour à froid. Nullement impressionniste : cette "Symphonie marine" dont les dernières mesures semblent pourtant s'inspirer (parodie ?) des "Jeux de vagues" debussystes...
Déjà reparus dans la collection "L'Esprit Français", les enregistrements (1974) de Jean Martinon avec l'Orchestre de l'ORTF présentent des oeuvres moins légères, plus sérieuses : l'ample et solennelle "Ouverture de Fête", les poétiques "Tropismes pour des amours imaginaires". Ainsi que le triptyque méditerranéen des "Escales", où la baguette inspirée de Martinon (malgré un orchestre pas toujours agile) ne démérite pas face aux versions gravées par Paul Paray (Mercury), Charles Munch (RCA) et Leopold Stokowski (Emi).
Ce double-album propose aussi le "Concerto pour flûte" défendu par Emmanuel Pahud, accompagné par David Zinman à la Tonhalle de Zurich (2002). Ainsi que les "Quatre Chansons de Don Quichotte" où s'illustre José van Dam. A titre documentaire, Emi aurait pu compléter le programme par les historiques extraits chantés par Feodor Chaliapine, dirigés par le compositeur lui-même. Mais ne chipotons pas : ces deux disques sont déjà bien remplis...